PORTRAIT URBAIN OLANGUENA AWONO
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- Publié le mercredi 4 novembre 2009 10:51
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Haut Fonctionnaire et Homme politique camerounais, Universitaire et Ecrivain
Urbain Olanguena Awono est né le 16 Juillet 1955 à Polo, un petit village africain en République du Cameroun. Et c’est non loin de son village natal, à l’école de la mission catholique St- Mathieu de Nkolmebanga, que le petit Olanguena Awono entreprend ses études primaires (1961 à 1968) sanctionnées par un Certificat d’Etudes Primaires et Elémentaires (CEPE). Ce qui lui ouvre les portes du collège d’enseignement secondaire de Sa’a, situé à 12 Km de son village natal où il obtient le Brevet d’Etudes du Premier Cycle (BEPC) et rejoint en 1972, le Lycée Général Leclerc de Yaoundé.
Jeune Bachelier en 1975, Olanguena Awono entre à l’université de Yaoundé. Il obtient en 1979 une licence, puis une maitrise à la faculté de Droit et sciences économiques. Entre 1979 et 1982, il suit le cycle de Doctorat dans la même université. Entre –temps, Urbain Olanguena Awono rejoint en 1980, la très célèbre Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature de Yaoundé (ENAM), l’école qui forme l’élite politique et Administrative du Cameroun. Il en sort avec le grade d’administrateur Civil en 1982, Option Economie et Finances. Il est également titulaire d’un Doctorat en Droit économique et des Affaires obtenu en 1982, avec mention « Très Bien », plus les félicitations spéciales du Jury.
Cette compétence universitaire amène Urbain Olanguena à mettre ses compétences au profit de nombreux étudiants camerounais. Entre 1980 et 1988, il interviendra notamment tour à tour comme chargé de travaux dirigés, et chargé de cours associé à la faculté de Droit et sciences économiques de l’université de Yaoundé ; et aussi comme chargé de cours vacataire à l’Ecole Nationale Supérieure de Police de Yaoundé, et conférencier à l’ENAM.
la carrière administrative, technique et politique de Mr Urbain Olanguena Awono est impressionnante et riche en hautes responsabilités. Entré dans la fonction publique en 1982, il est nommé contrôleur d’Etat en 1984, puis inspecteur d’Etat, chef de section de l’apurement des comptes de l’Etat en 1987. En 1988, il est nommé Inspecteur Général N°2 du Ministère du Développement Industriel et commercial, où il est chargé des réformes visant à restructurer les grandes filières agricoles en crise (café, cacao et coton) et de conduire en même temps le plan de libéralisation (commerce et prix) de l’économie camerounaise sous ajustement structurel.
En septembre 1990, il est nommé au Gouvernement au poste de Secrétaire d’Etat en charge des réformes et de la stabilisation économique. A cette date, il est l’un des plus jeunes membres du Gouvernement qu’il quittera en 1992. Au cours de sa traversée du désert, Urbain Olanguena Awono s’engage davantage en politique. Il milite activement dans le RDPC (Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais), parti au pouvoir, anime des conférences et devient membre suppléant élu de ce parti en 1996, après avoir été vice président de la commission de promotion des activités génératrices de revenus. Parallèlement à ses activités politiques, Urbain Olanguena Awono mène un travail plus technique d’expert-conseil, et est retenu à ce titre, comme consultant à la Banque mondiale pour la période 1994-1997.
En Octobre 1996, il est de retour aux affaires et nommé secrétaire général du tout puissant Ministère de l’Economie et des Finances de l’époque. Fait exceptionnel, il cumule cette haute fonction avec les responsabilités techniques de Président du Comité Technique de Suivi, (CTS) des réformes économiques, financières et sociales par la grâce d’un deuxième décret du Chef de l’Etat signé après la première nomination.
A ce poste, Urbain Olanguena Awono est le pilote technique incontournable de l’ensemble des réformes économiques et sociales menées par le Cameroun avec l’appui du FMI, de la Banque mondiale et de toutes les autres coopérations bi et multilatérales, pour la période 1996-2001.
Grace au binôme de travail puissant formé avec le Ministre d’Etat, Akame Mfoumou Edouard, l’économie camerounaise, après avoir raté le cap de la dévaluation de 1994, a été redressée et s’est relancée avec des taux de croissance supérieurs à 5% ; le Cameroun a été qualifié pour l’initiative PPTE et a atteint le point de décision en octobre 2000.
La carrière administrative de Urbain Olanguena Awono a été également riche en Fonctions de représentation. Il a été notamment président du Conseil d’Administration de la SCAN, Administrateur de la SONEL, de la SNEC, de la CAMAIR, de la COTCO, membre du Comité Monétaire National et Administrateur de la BEAC.
Jeune Bachelier en 1975, Olanguena Awono entre à l’université de Yaoundé. Il obtient en 1979 une licence, puis une maitrise à la faculté de Droit et sciences économiques. Entre 1979 et 1982, il suit le cycle de Doctorat dans la même université. Entre –temps, Urbain Olanguena Awono rejoint en 1980, la très célèbre Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature de Yaoundé (ENAM), l’école qui forme l’élite politique et Administrative du Cameroun. Il en sort avec le grade d’administrateur Civil en 1982, Option Economie et Finances. Il est également titulaire d’un Doctorat en Droit économique et des Affaires obtenu en 1982, avec mention « Très Bien », plus les félicitations spéciales du Jury.
Cette compétence universitaire amène Urbain Olanguena à mettre ses compétences au profit de nombreux étudiants camerounais. Entre 1980 et 1988, il interviendra notamment tour à tour comme chargé de travaux dirigés, et chargé de cours associé à la faculté de Droit et sciences économiques de l’université de Yaoundé ; et aussi comme chargé de cours vacataire à l’Ecole Nationale Supérieure de Police de Yaoundé, et conférencier à l’ENAM.
la carrière administrative, technique et politique de Mr Urbain Olanguena Awono est impressionnante et riche en hautes responsabilités. Entré dans la fonction publique en 1982, il est nommé contrôleur d’Etat en 1984, puis inspecteur d’Etat, chef de section de l’apurement des comptes de l’Etat en 1987. En 1988, il est nommé Inspecteur Général N°2 du Ministère du Développement Industriel et commercial, où il est chargé des réformes visant à restructurer les grandes filières agricoles en crise (café, cacao et coton) et de conduire en même temps le plan de libéralisation (commerce et prix) de l’économie camerounaise sous ajustement structurel.
En septembre 1990, il est nommé au Gouvernement au poste de Secrétaire d’Etat en charge des réformes et de la stabilisation économique. A cette date, il est l’un des plus jeunes membres du Gouvernement qu’il quittera en 1992. Au cours de sa traversée du désert, Urbain Olanguena Awono s’engage davantage en politique. Il milite activement dans le RDPC (Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais), parti au pouvoir, anime des conférences et devient membre suppléant élu de ce parti en 1996, après avoir été vice président de la commission de promotion des activités génératrices de revenus. Parallèlement à ses activités politiques, Urbain Olanguena Awono mène un travail plus technique d’expert-conseil, et est retenu à ce titre, comme consultant à la Banque mondiale pour la période 1994-1997.
En Octobre 1996, il est de retour aux affaires et nommé secrétaire général du tout puissant Ministère de l’Economie et des Finances de l’époque. Fait exceptionnel, il cumule cette haute fonction avec les responsabilités techniques de Président du Comité Technique de Suivi, (CTS) des réformes économiques, financières et sociales par la grâce d’un deuxième décret du Chef de l’Etat signé après la première nomination.
A ce poste, Urbain Olanguena Awono est le pilote technique incontournable de l’ensemble des réformes économiques et sociales menées par le Cameroun avec l’appui du FMI, de la Banque mondiale et de toutes les autres coopérations bi et multilatérales, pour la période 1996-2001.
Grace au binôme de travail puissant formé avec le Ministre d’Etat, Akame Mfoumou Edouard, l’économie camerounaise, après avoir raté le cap de la dévaluation de 1994, a été redressée et s’est relancée avec des taux de croissance supérieurs à 5% ; le Cameroun a été qualifié pour l’initiative PPTE et a atteint le point de décision en octobre 2000.
La carrière administrative de Urbain Olanguena Awono a été également riche en Fonctions de représentation. Il a été notamment président du Conseil d’Administration de la SCAN, Administrateur de la SONEL, de la SNEC, de la CAMAIR, de la COTCO, membre du Comité Monétaire National et Administrateur de la BEAC.
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